Le rappeur centre le débat sur l’humanitaire.
Depuis quelques semaines, le conflit entre Israël et la Palestine a repris de plus belle. Cela a provoqué une polarisation des débats faisant oublier l’essentiel qu’est la vie humaine en danger dans ce conflit. Akhenaton a martelé qu’il n’encourage pas la violence.
De même, il a critiqué ouvertement les manœuvres israéliennes et le silence de la communauté internationale.
A quand la paix ?
En partageant sa réaction sur Twitter, Akhenaton a commencé en montrant que son soutien à la Palestine n’est pas une excuse pour tolérer l’attaque-surprise que le Hamas a entreprise. « Une bonne fois pour toutes : personne ne cautionne l’attaque du Hamas sur des civils ».
Il poursuit en dénonçant la riposte disproportionnée de l’État israélien. « Mais là, ce n’est pas une riposte, c’est un massacre ! »
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Akhenaton s’attarde enfin sur le comportement de la France qui n’œuvre pas pour un retour à la paix. « Et qu’en disent les champions de la démocratie occidentale ? Rien… Pire parfois, ils l’encouragent. Alors qu’on attendrait un retour de la diplomatie française indépendante, œuvrant pour la paix, on doit avaler un jus amer de serpillière du 51e état », a-t-il écrit le 14 octobre.
Comme pour éviter qu’une telle situation ne se produise en Australie, le rappeur a affiché sa déception face à la non-reconnaissance par les Australiens des Aborigènes dans la constitution. C’est le résultat du référendum que le rappeur a commenté. « Ben voyons… La non-reconnaissance de la spoliation, de l’anéantissement culturel, de l’humiliation permanente, de l’apartheid, de l’enfermement à ciel ouvert devrait être condamnée. Avant l’arrivée des Européens, il y avait un peuple. Pandémie de cancers des colons. »
Pour en revenir à la situation en Palestine, il a partagé des chiffres effroyables du nombre d’enfants morts dans ce conflit. « 1030 enfants morts… que dire ? »
