Pour Booba, l’année 2021 aura été très chargée en sortie de nouveautés. Une belle année au cours de laquelle il a fait son entrée sur le marché des NFT. Et cette incursion s’est soldée par un magnifique succès. Une réussite qui a poussé le Duc de Boulogne à proposer un nouveau morceau avec les tokens non fongibles (NFT).
« GDC », maintenant disponible
En plus de son talent qui lui a permis de s’imposer sur le devant de la scène pendant plus de deux décennies, Booba est aussi connu pour son sens des affaires. Après avoir régalé son public avec son album « Ultra » et de nombreux sons, l’interprète de « BB » s’est lancé en fin septembre dans les tokens non fongibles avec son morceau « TN ».
Un concept peu connu et jamais adopté par les chanteurs français, mais que Kopp est parvenu à maîtriser rapidement. Et ceci a été une très belle réussite. En effet, le patron du 92i est parvenu à vendre ses 25 000 NFTs pour environ 600 000 euros.
Alors, confiant et encore plus déterminé, il a décidé de frapper une nouvelle fois avec les tokens non fongibles. À cet effet, il a proposé ce lundi un nouveau titre inédit “GDC“. Un morceau que seuls les détenteurs de la précédente collection de NFT pourront accéder en exclusivité. Toutefois, Booba a pensé à ses fans qui n’ont pas pu se procurer des cartes NFTs la dernière fois. Ainsi, il a remis en vente 1000 nouvelles cartes supplémentaires. Un beau cadeau de fin d’année pour son public.
On se donne rendez-vous dans quelques jours pour analyser ensemble les chiffres de vente de ”GDC”.
18h https://t.co/0YATq9XrHE pic.twitter.com/vdmIZNRzWf
— Biscuit Studio (@BISCUITstd) December 20, 2021
NFT : une tendance dans l’industrie rapologique française
Aujourd’hui, les NFTs ont clairement le vent en poupe dans le rap français. En effet, à l’instar de B20, de nombreux rappeurs ont décidé d’investir dans cette future mine d’or. À titre d’exemple, on peut citer Sneazzy a sorti un EP composé de deux morceaux qui étaient uniquement disponibles en tokens non fongibles. Un opus qu’il a choisi de présenter sur le réseau Avalanche (AVAX), contrairement à Kopp qui avait préféré l’Ethereum.
De plus, on peut citer le rappeur mystérieux Ziak. Ce dernier, à l’inverse de ses confrères qui ont proposé de la musique, a décidé de commercialiser de la cryptodrogue qu’il a nommée « Zi-Hash ». Une drogue que les acheteurs ne pourront évidemment pas consommer. Ici, il est uniquement question d’investissement.
On peut dire que même si les rappeurs français ont été un peu en retard face à leurs homologues du rap US au sujet des NFTs, ils ont commencé à se mettre sérieusement au travail.