Il traite les influvoleurs de démon.
Booba a été l’invité de Sud Radio. Dans l’émission « La culture dans tous ses états », le Duc a été questionné par André Bercoff et Céline Alonzo. Intervenant par visioconférence, le rappeur a répondu aux questions de la journaliste Céline. Dans l’extrait proposé en attendant la diffusion complète le vendredi 23 juin à 13 heures, Booba fait de la lumière sur son combat contre les influenceurs. Questionné par la coprésentatrice, le patron du 92i rappelle la genèse de ce combat.
La genèse selon Booba
Booba explique que c’est plutôt lui qui a été le premier attaqué. Ce n’est que sa riposte qui a conduit à cette guerre encouragée par ces fans. Il commence en mentionnant son clash avec Marc Blata « C’est plus les influenceurs qui sont partis en guerre contre moi. À la base, ça part d’une altercation entre moi et Marc Blata qui faisait dans le copy trading etc. Donc on a eu un clash. », explique Le Duc.
Il continue en montrant l’implication de sa communauté qui lui a permis de découvrir le réseau. « Et suite à ce clash, vu que j’ai une forte communauté, les gens pour m’aider dans mon clash m’ont partagé des informations sur leurs dérives sur ce qu’ils faisaient puisque moi je n’avais aucune idée de qui ils étaient »
Par la suite, Kopp déclare que c’est ainsi qu’il découvre Magali Berdah, Maeva Ghennam et tout le reste. La motivation d’attaquer Magali Berdah est partie du fait que Marc Blata comptait sur la patronne de Shauna Event pour supprimer le compte Instagram de Booba. « Marc Blata me parlait de Magali Berdah qui avait le bras long, qui fait sauter les comptes Instagram. », a dit Le Duc avant de se lancer comme défi de faire couler Berdah avant qu’elle ne le lui fasse. « Je me suis dit qu’avant de me sauter, j’allais mettre un peu de lumière sur ses activités ».
Booba a continué sa narration en montrant qu’en analysant les contenus qui lui étaient envoyés, il a découvert les pratiques douteuses. Parlant de copy trading, de dropshipping ou encore de fausse chirurgie esthétique, B2OBA traite les influvoleurs de démon.
La lutte du pirate a payé puisqu’une loi encadre désormais le métier de l’influence.