Ce vendredi 16 octobre, Furax Barbarossa nous a gratifié de son nouvel EP “CHA O HA”. L’occasion pour le toulousain de nous le faire vivre en image avec le clip du morecau “Crazy Horse”.
Découvrez les paroles du titre “Crazy Horse”
Dieu sait que j’en ai plus rien à foutre et quel que soit le ceau-mor. Du ciel je ferai tomber la foudre et quelques oiseaux morts. En somme, je suis à bout, arrache tout, Le roux, la rage. Je m’occuperai du Brouhaha là dans ce trou à rat.
En clair ta musique est là mais t’as l’art terne. Donc mets l’alarme, je suis à l’homme ce que la lame est à l’artère. Tu diras : le poids des mots, le vrai style nous plia. Frérot comme la face d’un mort je reste inoubliable.
Là-bas entre souffrance et Graal où vont souvent les cramés. Je suis le son du tomahawk ouvrant, soulevant les crânes. Me faire du tort dès demain n’envisage pas. Non moi découper torse et mettre main dans visage pâle.
Il te faudra fuir la ville que la mort sans cesse traque quand s’abat l’soir. J’enlève la vie de manière ancestrale grand ça va d’soi. Je suis pas là mon procès commence, la prose est Comanche J’montre les crocs, la pomme sur la crosse mon gros c’est comment…
Vous doutiez, tout y est, Cha O Ha, Crazy Horse outillé. Clic ciao J’opère dans la brume et vous sépare des femmes. Tu es perdant la plume est poussée par des flammes Allez oubliez, tout y est, Cha O Ha, Crazy Horse outillé. Vous vous doutiez… Je suis des restes de sang, de croix, de peinture. Je laisse un Everest de cendres de quoi te plains-tu.
La diligence est pleine de scal-pa, j’hérite. De la dalle chérie, de la dague qui scalpa l’shérif. La transe dépend des ondes, que la danse des vents, des ombres. Me rappelle le chant des Sioux la cadence des pendaisons.
La forêt brûle et l’étang bout. L’instru est en boule elle entend hurler les tambours. Arides sentiments, l’acide est en ébullition. Ainsi venu le châtiment voici le temps des punitions.
J’invoquerai les esprits car quand t’aboies t’as pas d’caresses. Avant qu’il s’exprime j’éclate la boîte à Pat Garrett. De quelle rançon, de quelle loi, ils repoussèrent nos terroirs. Je suis chanson de guerre moi doigt dans poussière de terre noire.
En haut les faux hésitent, l’infamie gueule en bas, ça crame. Fantôme récite poésie d’une famille que l’on massacra. C’est l’premier d’vos blém-pro mon procès commence, la prose est Comanche. Là j’pose, j’casse des dos dans l’tempo mon gros c’est comment…
Vous doutiez, tout y est, Cha O Ha, Crazy Horse outillé. Clic ciao J’opère dans la brume et vous sépare des femmes. Tu es perdant la plume est poussée par des flammes Allez oubliez, tout y est, Cha O Ha, Crazy Horse outillé. Vous vous doutiez… Je suis des restes de sang, de croix, de peinture. Je laisse un Everest de cendres de quoi te plains-tu.