À l’instar de Médine, Koba LaD ou encore Booba et bien d’autres, Kaaris a également donné son avis sur le 2ᵉ tour des élections présidentielles. Parlant du choix décisif qu’il va falloir faire entre Macron et Le Pen, Riska a sans langue de bois avoué sa crainte après s’être imaginé ce que serait la France lorsque la candidate du Rassemblement National parviendrait à prendre le pouvoir.
« Fini le rap… fini les grecs, fini les babouches ! »
A quelques jours du duel entre les deux candidats à la Présidence, Emmanuel Macron et Marine Le Pen, les réactions continuent d’affluer sur la toile. Dans la foulée, Kaaris a également réagi à travers son compte Snapchat où il a opiné sur le second tour des élections en se filmant au volant de sa voiture.
Alors qu’il parlait du dernier film Batman réalisé par Matt Reeves avec Robert Pattinson et Zoë Kravitz, qu’il n’a d’ailleurs pas apprécié, le rappeur n’a pas manqué de faire un détour sur l’actualité. En effet, Kaaris s’est amusé à analyser ce que représenterait une victoire de la fille de Jean-Marie Le Pen le dimanche prochain. En s’imaginant les nombreux changements que pourrait connaître la société, le rappeur n’a pas pu s’empêcher de s’indigner contre une possible arrivée au pouvoir de la candidate d’extrême droite.
« Le nouveau Batman… éclaté ! Et en même temps, à un moment j’ai pensé… je me suis dit : mais hey, en fait, si Marine Le Pen, elle passe au pouvoir, la France ça va être Gotham City, gros… Ça va être Gotham City, je te le dis ! La purge, La purge 5 ! Ahh… On va rendre la pureté à la France et y’a des équipes de fachos qui vont débarquer, ça va être chaud. Avec Tanguy David au milieu, eux-mêmes, ils vont se ter-ma : “Qu’est-ce qu’il fait là ce Lien-Ma !?” Chaud, chaud, chaud, chaud… Chaud ! » a-t-il analysé.
« J’ai vu qu’il y avait grave des artistes qui avaient appelé à voter Macron. Et dans les commentaires, il y a un mec qui mis, des fois je regarde les commentaires – : “les rappeurs ils ont peur, parce que le rap il va être interdit en fait !” » poursuit Riska avant de préciser « Fini les grecs, fini les babouches ».