Orelsan a une manière différente de voir le monde.
Orelsan n’est plus à présenter dans l’univers musical. Le rappeur de Toulouse a sorti de nombreux classiques et se caractérise par une manière singulière de rapper. Fort du succès de son album Civilisation, Aurel a été invité dans le podcast de Tony Parker. Il a été question de la nouvelle tendance qui voir des collaborations entre rappeurs français et américains.
Plus un rêve qu’un plan de carrière
Avec son ouverture d’esprit, Orelsan ne s’est pas opposé à l’idée de collaborer avec un rappeur américain. Il a d’abord montré qu’il est bien fan du rap américain. Par la suite, il s’est montré réaliste sur le fait que la méthode de travail des américains n’est pas compatible avec sa manière de travailler. « J’ai envie moi personnellement de le faire, dans le sens Aurélien le fan de rap et de musique. J’ai envie de la faire parce que je reste fan de plein d’artistes. Bosser avec Pharrell c’est un rêve tu vois, j’ai toujours été fan des Neptunes et de Pharell. Mais j’aurais du mal à faire un album comme ça. Je ne suis pas américain. Et personne ne pourra avoir le même investissement que Skread dans ma musique ».
À la suite de cette analyse, Orelsan a assuré que s’il avait l’opportunité de collaborer avec un rappeur américain, qu’il le fera cependant, il n’en fait pas une exigence ou une priorité à l’étape actuelle de sa carrière. « C’est plus un rêve. Je pense que si j’ai l’occasion de le faire, je le ferais plus de temps en temps, C’est plus des morceaux un peu pour le fun, plus pour moi, pour me donner des kif. Mais c’est pas forcément un plan de carrière. »