Booba a sorti son nouveau son PGP ce vendredi 25 janvier. Il mentionne quelques artistes contemporains, sur base bien sûr d’égotrip, comme à son habitude.
PGP, pour Pretty Good Privacy, comme il est indiqué sur le visuel du clip, ou “assez bonne confidentialité” en français. La protection de sa vie privée, et de ses messages envoyés, doivent être une priorité pour le Duc de Boulogne. Drogues, armes, femmes, argent, tout y passe. On pouvait le prédire, Booba n’a encore pas épargné son meilleur ennemi Kaaris, avec cette phrase “je te l’ai mise dans le cul sur un son de Kaaris”. De même, Damso contre qui Booba a une dent depuis quelques mois maintenant, a eu le droit à sa petite référence dans la punchline “je viens d’acheter deux sons-mai avec l’argent d’Ipséité”. Il profite de ce morceau pour big up ses potes du rap game, tels que Maes ou encore Koba LaD.
Le fil conducteur du morceau est le fameux PGP, logiciel permettant de crypter les données pour qu’elles soient inexploitable par une source externe, et ainsi garantir la confidentialité. Selon lui, certains de ses actes doivent alors être discutés via PGP sans quoi il pourrait avoir des problèmes. Tout ça, il nous l’explique sur une prod° de Exel The Future et CuBeatz, trois Allemands reconnus dans le métier, en particulier aux Etats-Unis. Les Allemands ont comme réputation d’être très bons en musique électronique, et ceux-là ne font pas exception à la règle. Booba utilise un flow propre à lui-même, mais assez peu varié dans le morceau, avec de plus la même rime en “é” tout le long, ce qui créé un effet de répétition. Cependant, le morceau dure 2min47, avec presque 1 min de prod° seule, donc on n’a pas le temps de se lasser des paroles du Duc. De plus, c’est une bonne recette pour que les auditeurs retiennent le titre tandis qu’il est dépourvu de refrain.
