Le manager n’est pas d’accord contre les prises de positions officielles.
La France est actuellement secouée par une nouvelle affaire. Il s’agit de la déclaration du ministre de l’Éducation qui interdit l’usage d’Abaya dans les écoles. Shone a donné son avis sur le sujet et n’a pas manqué de se prononcer également sur le scandale de la fédération espagnole de football.
Au nom de la laïcité
Avant l’annonce des nouvelles mesures par le ministre Gabriel Attal, Shone a décidé de rappeler la définition du mot « laïcité ». « La laïcité : Principe inscrit dans la Constitution. Elle garantit la liberté de conscience, l’égalité de tous les citoyens, quelle que soit leur croyance, la neutralité de l’État à l’égard des religions et le libre exercice des cultes. »
Après l’annonce de la mesure, le Conseil national du culte musulman s’est prononcé en laissant entendre ne pas avoir été consulté dans la prise de cette mesure. Shone y a trouvé un aveu de manque de considération. « Voilà conseil du culte musulman, tu vois que ta voix ne compte même pas un peu. Le gouvernement ne t’a pas demandé concernant l’abaya. Il savait bien quelle serait ta réponse. Pire tu dis que ce n’est pas religieux, mais eux ils disent si pour NOUS c’est religieux. Quel forcing. »
Un scandale sans réelle conviction
Le football espagnol est secoué par le scandale du baiser forcé du coach Rubiales à une joueuse après le sacre de l’équipe à la coupe du monde de football. Depuis cela, les voix s’élèvent pour demander la démission des dirigeants.
Pour shone ce débat doit être dépassé. Il s’est permis même une comparaison avec la France. « En même temps, on regarde ça avec nos yeux de Français. Ici la posture dépasse toute réelle conviction… Beaucoup font semblant d’être pour une cause juste pour l’image ou l’intérêt… #FédérationFootEspagnol »
