Life of a Boss Baddie, le nouveau livre d’Alexis Skyy, a rempli ses pages de médias sociaux de messages et de retweets. Mais si elle semble avoir connu un début d’année prometteur et prospère, elle a dû également faire face à certaines accusations.
Skyy, comme beaucoup d’autres personnes dans sa situation, s’est lancée dans diverses entreprises afin de diversifier ses revenus. C’est dans cette logique qu’elle a ouvert une maison de convalescence à Houston, où les gens pouvaient séjourner et être soignés pendant les semaines postopératoires après des chirurgies esthétiques, notamment des BBL et des liposuccions.
Mais l’écrivaine a récemment été accusée d’extorsion de fonds
Une femme a fait surface avec une vidéo dans laquelle elle affirme avoir payé 1150 dollars pour séjourner dans la maison de convalescence de Skyy, pour constater plus tard que le site Web n’était plus actif, que la page Instagram de l’entreprise qui avait disparu et qu’elle ne pouvait pas contacter Skyy parce qu’elle était bloquée.
Sky a répondu au backlash par une déclaration qui n’a pas été bien accueillie
“Ma maison de convalescence est fermée depuis 5 mois maintenant parce que quelqu’un me haïssait et a fait appel à moi ou à ma gestion communautaire pour que ma maison soit fermée en 7 jours. Avant cela, j’ai cessé d’accepter des réservations. Mon site avait une politique selon laquelle la réservation de votre séjour n’était pas remboursable ! Cependant, si votre opération a été reprogrammée… vous aviez un crédit de 90 jours après cela n’est plus remboursable, sa réservation était en juillet, nous sommes en Janvier, c’est la troisième fois qu’elle a reprogrammé… J’ai des conditions et des politiques de remboursement comme toute autre entreprise.”
L’explication de Skyy n’a pas été bien accueillie par le public, qui a instantanément remis en question son calendrier. Un commentateur sur Instagram a souligné que nous étions en août il y a cinq mois, et a demandé pourquoi, si la femme avait réservé pour juillet puis reprogrammé, son argent n’avait pas été remboursé puisque le cabinet n’était plus opérationnel.
Des antécédents qui desservent
De nombreuses personnes interrogent Alexis, surtout qu’il y a quelques mois, une ancienne employée de son salon de coiffure (actuellement fermé) s’est plainte sur les médias sociaux qu’elle n’avait pas été payée parce que son chèque de salaire était sans provisions.