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Booba réagit à l’enquête ouverte contre le rappeur Lomepal accusé de viol

L’enquête est ouverte pour des faits  survenus à l’étranger en 2017.

Lomepal fait actuellement l’objet d’une enquête ouverte dans le cadre d’une accusation de viol. C’est pour des faits survenus en 2017 que le parquet de Paris a ouvert cette investigation préliminaire. À peine annoncée, la nouvelle a suscité des réactions, dont celle de Booba.

Booba traite Lomepal de Pointeur

C’est en story Instagram que Booba a partagé deux brèves sur le sujet. Après ces deux stories, le troisième du rappeur résidant à Miami s’est directement adressé à celui qui est mis en cause. B2O s’est désolidarisé de son collègue qu’il traite de « pointeur ». Pour le dire, Le Duc s’est servi d’un bout de chanson de Niska dont il a partagé le visuel. « Oh Charo, toi tu es un vrai pointeur ».

Sur Twitter également, Le Duc a partagé l’actualité avec l’annonce d’une autre tête qui tombera bientôt. « Y en a un 3ème qui arrive. Un gros client ».

Une affaire de 2017

Selon nos confrères de actu.fr, c’est le parquet de Paris qui a ouvert l’enquête à la suite d’une plainte déposée contre le rappeur de 31 ans. « Le parquet de Paris a confié une enquête en préliminaire du chef de viol au 3e DPJ après une plainte déposée en 2020 pour des faits survenus en 2017 à l’étranger », a déclaré le ministère public à nos confrères.

Selon d’autres médias, les faits se seraient déroulés à New York et c’est la présumée victime, une connaissance du rappeur, qui a porté plainte.

L’enquête ouverte a pour but de faire la lumière sur ce dossier.

Ce nouveau développement intervient alors qu’il y a quelques jours, une telle accusation a agité les réseaux sociaux. Sur Instagram, Jenna Boulmedaïs, rédactrice en chef du média Joly Môme s’est transformée en porte-voix des présumées victimes. « Cela fait maintenant deux ans que j’entends, dans le milieu de la musique, des témoignages de femmes ayant subi les gestes déplacés et non désirés d’Antoine Lomepal. »

La journaliste a ensuite été visée par une plainte pour diffamation émanant de la fédération française de Musique. Cette plainte est justifiée par le fait que la journaliste accuse toute l’industrie musicale d’être au courant et de ne pas réagir.