Le sénat souhaite auditionner Booba au sujet des influvoleurs, mais Booba refuse.
Booba est de nouveau au cœur de l’actualité de France. Le rappeur très actif sur les réseaux sociaux ne manque pas de parler de sa lutte contre les influvoleurs. Ce combat qu’il mène depuis quelques mois a quand même permis au Duc d’atteindre un autre niveau de notoriété.
Booba s’est attaqué particulièrement à Magali Bergah qu’il a toujours Mima traitée de menteuses et d’escroc. Maeva Ghenaam et Cyril Hanouna sont également dans cette liste de cible de choix de Booba.
Après avoir lancé une vaste campagne dans le but de démasquer les combines des influvoleurs, Booba a réussi à faire intéresser le gouvernement français. L’exécutif a initié une loi pour réguler le secteur et ce projet est passé sans opposition politique à l’assemblée. Dès lors, Booba enchaîne les victoires contre Magali qui l’accuse de cyberharcèlement.
Depuis Miami, Booba a été auditionné. Au terme du processus, le Duc n’a pas été condamné puisqu’aucun élément n’établissait la preuve de cyberharcèlement. Mieux, le patron du 92i a obtenu le statut de « témoin assisté ».
Booba, son ascension et son refus de se rendre au Sénat
Booba est sur le point de remporter non pas la bataille, mais la guerre contre le monde des influvoleurs. Il s’amuse à partager des témoignages d’influenceurs qui dénoncent Magali Berdah. Un mini documentaire a même fait comprendre que la patronne de Shauna Events est très endettée et a du mal à payer les membres de son réseau.
Comme on pouvait s’y attendre, Booba partage toutes ces informations avec de la moquerie. C’est bien le signe que sa victoire finale est proche. Contre toute attente, Booba a partagé un article montrant qu’il est invité par le Sénat qui souhaite l’écouter dans l’affaire concernant les influvoleurs.
Booba a publié l’article tout en déclinant l’opportunité de faire tomber le réseau « d’escrocs ». « Je n’irai pas au Sénat. Je ne cherche pas à faire de politique juste à démasquer ces influvoleurs et combattre la culture du vide. Je vous laisse faire votre boulot condamnez les sanctionnez les. Merci. »