La caution est fixée à 50 000 dollars.
Boosie Badazz a réussi à obtenir la libération conditionnelle après un premier échec. C’est le mercredi 14 juin que le rappeur a été arrêté après sa sortie d’une salle d’audience à San Diego. Après une première tentative qui s’est soldée par un échec, Badazz et ses avocats ont encore formulé la demande de libération sous caution. Même si les procureurs avaient souhaité que la détention soit maintenue jusqu’au jugement, l’autorité judiciaire a décidé d’accepter la demande de Badazz.
L’affaire est toujours en cours
Le juge qui a accordé la liberté conditionnelle a fixé la caution à 50 000 dollars. C’est TMZ qui a réussi à obtenir cette confidence des avocats Meghan Blanco et Damon Alimouri de Baddaz.
Personne ne sait pour l’heure quand est ce qu’il sortira. La certitude est plutôt au niveau des charges retenues contre le rappeur de Bâton-Rouge. Il y a entre autres la « possession d’une arme à feu et le transport d’armes à feu sur les autoroutes. »
Selon TMZ qui a eu accès à des documents en lien avec l’affaire, l’accusation a été établie à partir des posts compromettants sur Instagram live et datant du mois dernier.
Dans ces posts, Boosie Badazz est vu en train de ranger une arme à feu dans la ceinture de son jean. En se comportant ainsi, le rappeur a violé la loi fédérale qui interdit aux personnes condamnées de porter ou de posséder des armes à feu.
Une fois de plus, c’est l’usage des réseaux sociaux qui a engendré tout cela pour Badazz. Sauf erreur, il devrait payer la caution pour retrouver sa liberté. Les fans ont donc rempli leur part de mission puisque dès l’arrestation du rappeur, un communiqué invitant à la prière a été lancé. « Boosie demande des prières alors qu’il fait face à cette circonstance malheureuse dans sa vie. Il espère qu’il pourra bientôt rejoindre sa famille et sait que Dieu le protège. »
Cette sortie conditionnelle n’empêche aucunement le déroulement de ce procès qui pointe à l’horizon.