Lors du tournage d’un clip vidéo, Boosie Badazz aurait été surpris en possession d’une arme à feu.
Boosie Badazz s’est rendu le lundi 15 mai au tribunal de la ville de San Diego au sud de la Californie. Le rappeur y était dans le cadre d’une accusation de port d’arme à feu. Accompagné de deux de ses avocats, le rappeur a plaidé non coupable pour cette accusation.
Le film des événements
C’est le San Diego Union-Tribune qui a relayé l’information selon laquelle Boosie a plaidé non coupable pour l’accusation de port d’une arme.
Le WBRZ-TV a informé que le rappeur a été arrêté le 6 mai et a été conduit dans la prison du comté de San Diego pour quatre chefs d’accusation. C’est au cours du tournage d’un clip avec le rappeur local Bully Three que l’arrestation a eu lieu. Au nombre des chefs d’accusation, il y a celui de crime en possession d’une arme à feu ainsi que celui du port d’une arme dissimulée dans un véhicule. Les deux autres chefs d’accusation sont ceux de possession de munitions par une personne interdite et de possession non répertoriée d’une arme à feu enregistrée.
Avec ces chefs d’accusation, le rappeur risque 3 ans de prison si le tribunal le déclare coupable pour le port d’une arme. Pour le moment, Badazz est libre de ses mouvements puisqu’il a payé la caution de 50 000 dollars.
Avant de se rendre au tribunal, Boosie a provoqué la police locale au cours d’un concert dans la ville en invitant les agents à « su*er sa b*te ».
Boosie Badazz est connu pour ses rapports conflictuels avec la police. En 2022, il avait déjà été arrêté et avait donné un concert aux policiers au moment de son arrestation. Sa prestation improvisée frisait la provocation et n’avait pas plu aux hommes en uniforme.