Diddy a encore de la ressource pour se défendre.
Diddy est resté assez longtemps au cœur de l’actualité en raison de la vague d’accusations d’agression sexuelle dont il a été objet. Avec la descente médiatisée des fédéraux dans deux de ses propriétés, le rappeur et producteur a été encore plus exposé. Alors que ses ennemis ont récupéré l’affaire pour se moquer de lui, il a décidé d’adopter le silence. Pour une fois, il observe une trêve et prend la parole pour s’exprimer.
Diddy réagit par la contre-attaque
Dans le lot des plaintes, Diddy et ses avocats ont décidé de contre-attaquer contre les accusations de Joi Dickerson-Neal. Le conseil juridique du patron de Bad Boy Record a demandé aux tribunaux de rejeter partiellement le procès pour agression sexuelle intenté par Joi.
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C’est le vendredi 26 avril que les avocats ont signifié que leur client ne peut être poursuivi par des lois qui n’existaient pas au moment des présumés faits. L’associated Press a également donné plus de détails sur le sujet. En effet, la motion indique qu’au moment de l’agression présumée de Mme Dickerson-Neal en 1991, certaines lois utilisées dans le procès en ce moment n’existaient pas encore. Il s’agit notamment des lois relatives à la pornographie de vengeance et au trafic d’êtres humains.
Pour rappel, Joi Dickerson-Neal a affirmé avoir été droguée et violée par Diddy. L’accusée a réagi par son porte-parole pour montrer comment la loi peut être détournée de son but premier. « Ce procès de dernière minute est un exemple de la façon dont une loi bien intentionnée [la loi sur les survivants adultes de l’État de New York] peut être détournée. L’histoire de Mme Dickerson, vieille de 32 ans, est inventée et n’est pas crédible. M. Combs ne l’a jamais agressée et elle met en cause des entreprises qui n’existaient pas. Il s’agit purement d’une affaire d’argent et rien d’autre ».
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