Magali Berdah a porté plainte contre Booba pour cyberharcèlement.
Le lundi 2 octobre, Booba a profité de son séjour à Paris pour se faire écouter par un juge d’instruction. C’est dans le cadre d’une plainte pour cyberharcèlement, menace de mort et recel de biens. Le Duc est rentré chez lui et a publié une vidéo pour rassurer qu’il est toujours en liberté. Il ne s’est pas arrêté à cette réaction. Ila publié le 3 octobre, un communiqué au sujet de la même affaire.
Un communiqué qui donne le ton
Dans le communiqué publié sur ses réseaux sociaux, Booba clarifie ses intentions et rappelle sa détermination à aller au bout. Sur Twitter, il a ajouté une légende avant que le communiqué soit dévoilé. « Face à ses constantes manipulations médiatiques, ses mensonges et ses larmes de crocodile, je me dois d’éclairer un peu la situation », a écrit Booba.
Booba commence le communiqué en rappelant son objectif premier. « Toute mon action a été motivée par un seul but : dénoncer les influenceurs. Dénoncer l’injustice, la lâcheté, la culture du vide et de l’arnaque. J’ai ouvert un débat public et j’ai engagé des actions judiciaires. À aucun moment, je n’ai cherché à harceler ou menacer quiconque. »
Par la suite, il rassure que les prétendues accusations de menace de mort ont été écartées. »J’ai pu m’expliquer hier devant le juge d’instruction. Les prétendues menaces de mort ont été écartées. »
Il poursuit en développant justement la « manipulation » faite par Magali de la situation. « Prétendre le contraire relève de la manipulation. C’est ce que fait depuis le début la plaignante en me ciblant systématiquement pour cacher ses casseroles et ses multiples condamnations. Elle a escroqué un vieil homme de 96 ans, elle est en interdiction de gérer depuis 2020 et jusqu’à 2025, elle doit un demi-million d’euros au fisc, deux millions à deux influenceurs, elle sort de garde à vue pour être jugée en décembre pour banqueroute de sa société de courtage en assurances. On comprend qu’elle soit anxieuse, car elle est en train de se faire rattraper par la patrouille. »
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Pour finir, le rappeur rassure sur son envie d’aller au bout de son combat. « Pour ma part, j’assume mes actes et je suis confiant en la justice. La mise en examen n’est qu’une étape du début de l’instruction. J’ai l’intention de me défendre et de me battre sur tous les aspects de la procédure. »
