Koba LaD et Zola Parano

Koba LaD et Zola sont « Parano »

Les deux rappeurs donnent toujours de la force à leur projet commun.

Zola et Koba LaD ont réussi un grand coup en annonçant fin 2023 leur réconciliation à travers un album commun. Le disque sorti le 26 janvier 2024 porte bien un titre marquant l’histoire des deux artistes. Le projet « Frères ennemis » a reçu un bel accueil des fans. A ce titre, le duo a décidé de poursuivre la promotion du projet en dévoilant un nouveau clip vidéo. Il s’agit de celui du morceau « Parano » se trouvant sur le projet.

Un peu parano

C’est sur la chaîne YouTube de Zola que le clip officiel a été dévoilé lundi 20 mai 2024. La réalisation de ce visuel s’apparente à un tournage de film. Les deux rappeurs sont montrés au volant de voitures de luxe. Ils ont effectué une course de voiture dans une région désertique.

De plus, ils ont été les seuls figurants dans la vidéo. Cela colle bien au contenu et au vécu d’un mec paranoïaque qu’ils ont voulu faire passer comme message. 

C’est Koba LaD qui démarre avec son couplet chanté. « Un peu souvent menotté, beaucoup trop de fois pris en flagrant/ j’ai trop fait pour cette petite monnaie, j’ai trop fait pour ces petits bâtards/ malgré les coups durs, on a foi en Dieu, les couteaux dans le dos, je les ai pas rendus/ je les ai pas rendus, je suis resté têtu, je sais que j’aurais pas dû mais j’ai recommencé/ j’ai fait comme cace-dédi, je suis venu, j’ai pris, j’ai taillé/ bébé, faut pas me brusquer, la plaie n’a pas cicatrisé/ je fais toujours semblant mais en vrai, je suis yomb, semblant mais en vrai, je suis yomb/ je souris quand la kichta tombe, quand un sin-cou sort de taule/… ».

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Le refrain vient ensuite. « Un peu parano dans ma te-tê (un peu paro dans ma te-tê)/ tu connais, j’ai pris du recul (du recul), je préfère la vue d’ensemble (d’ensemble)/ je ferais plus confiance, je suis navré (je suis navré)/ au fond de moi, je suis trop déçu (déçu), je croyais qu’on était ensemble (sale bâtard)/ encore un décès (oh), coup de couteau dans la descente (la bagarre)/ je vais pas te faire de dessin (nan), c’est que nous dans le Parisien (c’est que nous)/ oh putain de merde, c’est pas vrai (oh, putain d’merde, c’est pas vrai)/ je peux plus revenir dans le passé/ »