Normani, ex-membre de Fifth Harmony, a finalement sorti son premier album tant attendu, “Dopamine“, le 14 juin. Cependant, ce lancement tant espéré a rapidement été entaché par des accusations sérieuses concernant les crédits des auteurs-compositeurs. Tayla Parx, une figure éminente de l’industrie musicale, a exprimé son mécontentement sur les réseaux sociaux, révélant une omission significative dans les crédits de l’album.
Les accusations de Tayla Parx : une absence remarquée
Tayla Parx, connue pour ses collaborations avec des artistes comme Ariana Grande et Dua Lipa, a co-écrit “Insomnia“, un morceau de l’album “Dopamine“. Alors que son nom apparaît bien sur Spotify, il est absent des crédits d’Apple Music. Cette omission a conduit Parx à exprimer publiquement sa frustration sur X (anciennement Twitter), soulignant l’importance des crédits dans l’industrie musicale. Elle a rappelé que, au-delà de la rémunération, la reconnaissance de son travail est essentielle pour les créateurs.
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Les réactions des fans : entre soutien et critiques
La réaction des fans face aux accusations de Parx a été mitigée. Certains ont critiqué sa démarche, suggérant qu’elle aurait pu régler cela en privé. D’autres ont soutenu sa prise de parole, mettant en lumière l’importance de la reconnaissance dans le processus créatif. Les discussions ont également conduit à des commentaires acerbes sur l’album de Normani, certains allant jusqu’à dire que l’album avait fait un flop et que Parx n’en aurait pas tiré profit.
La réponse de Normani : louanges et oubli
Dans une interview avec Zach Sang, Normani a mentionné Parx parmi les collaborateurs de son album, la qualifiant d’icône et louant son talent. Cependant, le fait que Parx ne soit pas créditée sur certaines plateformes a suscité des interrogations sur les raisons de cette omission. Normani a également exprimé son admiration pour Brandy et Victoria Monet, qui ont toutes deux contribué à “Insomnia”, ajoutant une couche de complexité à cette situation.
L’importance des crédits dans l’industrie musicale
Les crédits d’écriture de chansons sont cruciaux dans l’industrie musicale, non seulement pour la rémunération mais aussi pour la reconnaissance professionnelle. L’exemple de l’album “Renaissance” de Beyoncé, qui a crédité plus de 100 auteurs-compositeurs, illustre l’importance de reconnaître chaque contribution. L’omission de Tayla Parx, même involontaire, souligne les défis auxquels les créateurs de musique peuvent être confrontés lorsqu’ils ne sont pas dûment reconnus pour leur travail.
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