Ce vendredi, Rihanna a créé la polémique en diffusant un morceau qui contient un hadith lors de son défilé Savage X Fenty.
Rihanna est dans une tourmente dont elle se serait bien passée. En effet, la chanteuse de 32 ans se retrouve maintenant sous une avalanche de critiques et est accusée de blasphème envers la religion musulmane.
En cause, son défilé Savage X Fenty qui s’est déroulé vendredi 2 octobre et qui a rassemblé tous le gratin de l’industrie. La business woman a en effet eu la mauvaise idée d’utiliser dans son show, un morceau qui contient le remix d’un hadith, un extrait de la parole du prophète de l’islam. Une parole qui est donc particulièrement sacrée dans la religion musulmane. Le morceau qui s’appelle “Doom” est signé “Coucou Chloé”, une artiste londonienne qui avait travaillé sur le premier défilé Savage x Fenty.
Mais le problème est le suivant, en utilisant ce morceau, l’interprète de “Love The Way You Lie” aurait détourné un texte sacré pour les musulmans, ce qui a ainsi entraîné l’indignation de milliers d’internautes.
“Hey Rihanna, notre religion n’est pas une esthétique”
“Rihanna est responsable pour ça, même si ce n’est pas elle qui a choisi la musique. Elle a engagé son équipe et aurait du entendre la musique avant. Ce n’est pas parce qu’elle est Rihanna qu’elle a le droit de manquer de respect à une religion.”
“Rihanna qui utilise un remis d’un Hadith dans son show, comme si de rien n’était.”
“Hey Rihanna, notre religion n’est pas une esthétique. S’il-te-plaît arrête de l’utiliser comme un morceau offensant à jouer dans un de tes spectacle de lingerie. Ces hadiths sont saints et sacrés pour nous. Et c’est incroyablement douloureux d’entendre des versets du Saint Coran sur un morceau de danse.”
Par ailleurs, à ces accusations de blasphème sont se ajoutées des accusations d’appropriation culturelle. De plus, parmi ses nombreux détracteurs, certains exigent des excuses et d’autres appellent à son boycott.
En tout cas, pour l’instant, la chanteuse ne s’est pas encore exprimée publiquement sur l’affaire. Mais vu l’ampleur du bad buzz, sa réponse ne devrait plus tarder.
