Le 12 septembre 2024, Arte.tv a diffusé le très attendu documentaire DJ Mehdi : Made In France, réalisé par Thibault de Longeville. Ce projet, salué pour sa volonté de rendre hommage à l’illustre DJ Mehdi, a toutefois suscité une réaction inattendue de la part de Rohff. Le rappeur, connu pour ses prises de position tranchées, a explosé sur les réseaux sociaux, dénonçant le documentaire comme une manipulation et une exploitation de la mémoire de son ami. En l’absence de sa participation, Rohff accuse le réalisateur de déformer la réalité et d’utiliser son image sans permission. Retour sur cette affaire tumultueuse.
Rohff s’indigne : Une réaction inattendue
Rohff n’a pas tardé à exprimer son mécontentement après la diffusion du documentaire sur DJ Mehdi. Sur X (anciennement Twitter), il a qualifié le documentaire de « faible et dégueulasse », affirmant que sa participation avait été refusée à plusieurs reprises, malgré ce qu’il considère comme une utilisation abusive de son image. Selon lui, le documentaire utilise des images d’archives de lui-même pour renforcer un récit qu’il juge romancé et injuste.
A LIRE ABSOLUMENT : Rohff : « lls veulent plus de Rohff ces chiens » ou quand le rappeur attaque l’industrie du rap français
Accusations de manipulation et de trahison
Rohff accuse le réalisateur Thibault de Longeville de manipuler l’histoire de la Mafia K’1 Fry pour donner plus de poids à la vie et à la carrière de DJ Mehdi. Il critique sévèrement ce qu’il perçoit comme une tentative de « fouler les tapis rouges » en exploitant la mémoire de son ami défunt pour générer du buzz et de l’argent. Pour lui, ces prétendus hommages ne sont que des opportunités commerciales déguisées en hommage sincère.
La réponse de Thibault de Longeville
Pour l’instant, Thibault de Longeville n’a pas réagi publiquement aux accusations de Rohff. La polémique continue de s’intensifier alors que les fans et les observateurs du milieu du rap restent divisés sur la question. La tension entre les deux hommes illustre la complexité des relations dans le monde du hip-hop, où les questions de respect, d’image et de mémoire peuvent rapidement se transformer en conflits ouverts.
A LIRE AUSSI : Rohff qualifie la cérémonie d’ouverture des JO 2024 de “sataniste et occulte”
