Habitué à ne pas garder sa langue dans sa poche, Booba vient de s’attirer la foudre des internautes après avoir réagi à la décision du gouvernement d’autoriser les élèves transgenres à décider de leur prénom à l’école. Le Duc a donné son avis à travers un tweet qui passe très mal auprès des internautes.
Un tweet de Booba provoque le courroux des internautes
Le gouvernement français a décidé de permettre désormais aux élèves transgenres de choisir leur prénom à l’école. Très actif sur les réseaux sociaux, Booba qui ne rate aucune actualité a réagi à cette décision. Dans un post sur le réseau social a l’oiseau bleu, l’ancien membre du groupe Lunatic s’est en effet insurgé contre cette décision en expliquant qu’il n’accepterait jamais que son fils Omar change son prénom d’usage au cas où il souhaiterait s’appeler Mireille.
« Si mon fils rentre de l’école un jour et me dit qu’il s’appelle « Mireille » on va avoir un sérieux problème » a tweeté Booba. Très vite, ce tweet du rappeur a fait l’effet d’une bombe sur la toile. Les internautes ont jugé ce tweet de B20 homophobe au point de se balancer sur le rappeur comme le témoignent les nombreux commentaires.
« Mais ça te concerne en quoi, Booba ? T’as pas de fille ou de garçon transgenre », « Vous n’avez pas idée de la souffrance que subissent ces ados », « Qu’est-ce que ça peut te foutre que ton gosse s’appelle Mireille ou Songoku », « Ce n’est ni une lubie, ni une mode, ni un choix » peut-on découvrir dans les commentaires contre Booba ou encore, « Ton rôle, c’est pas de le rendre heureux et de le soutenir dans les étapes et épreuves de sa vie ? ».
Booba justifie son opinion
Face à cette grosse polémique, Booba est revenu à la charge pour mieux expliquer son point de vue à l’opinion publique. « Booba pas transphobe Booba pas vouloir que des inconnus fassent l’éducation se*uelle de nos enfants en pleine construction physique et mentale. LGBT c’est super mais ça doit être interdit aux mineurs. Voilà!!! Mon discours est censé et juste. » a tenté d’expliquer l’interprète de Boulbi en réponse à un article de presse qui l’a traité transphobe.
« Celui qui approche mon fils de 7 ans en lui disant qu’il peut s’appeler Jacqueline et s’couper la zezette j’vais lui faire visiter Mars et sa banlieue. Continuez! De 1 j’suis pas transphobique ( j’suis même pas phobique déjà ) de 2 a qui tu donnes des ordres? Vous pétez les plombs! », a conclu le père de Luna.