Le garage porte une inscription indiquant que le vandalisme est l’œuvre des Crips.
Louisville n’est pas si calme qu’on le pense. Jack Harlow le prouve si bien avec deux actualités qui lui sont liées. La première a rapport à son album surprise Jackman. Le rappeur a surpris toute la toile en sortant le vendredi 28 avril un album pour lequel il n’a fait aucune campagne de communication. Le projet est venu avec une pochette incluant la photo d’un garage situé dans le quartier de Highlands.
Ce même garage a fait l’objet de vandalisme malheureusement.
Un acte signé des Crips
La nouvelle ne plaira pas à Jack Harlow, mais le même garage qu’il a utilisé pour la pochette de son album a été attaqué. C’est le Courier-Journal qui a annoncé l’acte de vandalisme. De plus, le journal informe que des centaines de curieux s’étaient arrêtés pour prendre des photos du désormais monument de Louisville.
Les auteurs du vandalisme n’ont rien laissé derrière eux si ce n’est un garage délabré et une signature qui n’est pas inconnu des habitués du coin. Sur la porte du garage, il est possible de lire « Crips » targué à l’aide d’une bombe de peinture de couleur bleue.
Difficile de savoir ce qui justifie un tel acte. L’autre fait marquant est la controverse créée par Jack Harlow dans l’une des chansons de son dernier album. Sur le morceau They Don’t Love It, il a affirmé être « le garçon blanc le plus difficile » à prendre un micro depuis Eminem. « Ton garçon s’efforce d’être le plus dominant de tous les temps/Le garçon blanc le plus dur depuis celui qui rappait sur le vomi et les pulls », rappe Harlow sur le morceau produit par Hollywood Cole.
Il faut préciser que ces paroles font référence à une rime d’Eminem et les fans n’ont pas vraiment apprécié la comparaison.