Killer Mike n’est pas resté silencieux à propos de la remise au jour d’une photo de 2020 de lui avec le gouverneur de Géorgie Brian Kemp. Il a répondu à la vague de critique avec sa dernière sortie.
Killer Mike a pris une semaine pour régler ses comptes avec les détracteurs. Alors qu’une nouvelle vague de critique au sujet de sa proximité avec le cercle des politiques est agitée, le rappeur calme la tempête. Pour cela, il a sorti son deuxième morceau de l’année. Il s’agit de Talk’n That Shit !. Le chef-d’œuvre est produit par DJ Paul et TWhy Xclusive. Il est accompagné d’une vidéo assez simple mais brute pour coller à la pensée du rappeur.
Talk’n That Shit! Dans le fond
Talk’n That Shit! De Killer Mike est conçu en trois temps. Le rappeur a eu trois couplets développés en moins de 3 minutes. Chacun des couplets a été posé avec un instrumental différend. Dans l’esprit aussi, chacun des couplets avec un message précis.
Le premier semble aborder la question de l’apparition avec le gouverneur Brian Kemp. C’est ce qu’il convient de comprendre avec la partie où il parle des politiques. « Je suis dans des pièces avec des politiciens qui parlent affaires et merde/Ici vous venez avec votre opinion, je ne sollicite pas cette merde. »
Dans la suite, c’est toujours l’esprit tourné vers le monde politique en parlant de la grâce présidentielle de Joe Biden au sujet d’accusation en rapport avec la marijuana. « Je n’en ai rien à foutre si l’herbe n’est pas légale si aucun de mes n-ggas n’est libre/Je n’en ai rien à foutre de qui est le président si le président n’est pas pour moi ».
Un objet de libre expression atteint
Killer Mike rappelle dans son nouveau morceau qu’il assume ses propos. « Première règle que vous devez comprendre/ Vous avez affaire à un vrai homme noir/ Si je l’ai dit, je le pensais/ Je le pensais comme je l’ai dit, parce que j’ai dit ce que j’ai dit, comprenez. » C’est d’ailleurs son objectif premier et il le rappelle en annonçant la sortie du morceau. « Avec la vidéo, je voulais montrer la liberté et la beauté de pouvoir arriver malgré toutes les merdes. Cela dérange encore plus la bourgeoisie – malgré toutes vos critiques, nous allons vivre libres et rester éclairés. »