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Megan affirme que Tory Lanez lui aurait offert 1 million de dollars pour acheter son silence

Le procès pour fusillade sur Megan a commencé et les déballages se poursuivent.

Les États-Unis d’Amérique connaissent en ce moment l’un des procès les plus médiatisés de l’industrie musicale. Il s’agit de l’affaire de fusillade dans laquelle Tory Lanez est accusé d’en être auteur sur Megan Thee Stallion. Selon les faits, le rappeur a tiré à cinq reprises sur la chanteuse. Les évènements remontent en juillet 2020.

Le mardi 13 décembre, Megan a parlé et a donné sa version des faits. Elle a aussi évoqué un élément qui pourrait peser lourd dans la balance.

1 Million de dollars pour garder le silence

Au tribunal, Megan a commencé en se servant de ses émotions au moment de l’incident. « Je suis sous le choc. J’ai peur. J’entends l’arme exploser et je n’arrive pas à croire qu’il me tire dessus »

Los Angeles Times a fait savoir qu’après ses propos introductifs, Megan a parlé d’une tentative audacieuse. Megan a expliqué qu’elle a reçu une proposition de Tory alors qu’elle se soignait à l’arrière de la voiture. Ce dernier a voulu acheter son silence à elle, ainsi que celui de son amie Kelsey Harris. « Ne dis rien et je te donnerai un million de dollars ». Cette proposition serait motivée par le fait que Tory craint pour sa probation.

Cette dernière information a permis à l’avocat de Tory de réagir. Il remet en cause la déclaration en se basant sur le fait que son client n’a jamais été en probation.

Pourquoi n’avoir pas vite réagi

Megan a mis du temps à signaler l’incident à la police. Elle n’a pas manqué d’expliquer qu’elle a fait ainsi par mesure de sécurité pour Tory et pour ne pas mettre fin à sa carrière. « En ce moment, nous sommes au plus fort de la brutalité policière… J’avais l’impression que si je disais que cet homme m’avait tiré dessus, ils pourraient tirer d’abord et poser des questions plus tard », a-t-elle déclaré. « Je ne me sens pas en sécurité dans la voiture. Je ne me sens pas en sécurité avec la police. Tout d’abord, dans la communauté noire, dans ma communauté, ce n’est pas vraiment acceptable de coopérer avec les policiers. »