Le rappeur garde un mauvais souvenir de son séjour dans ce pays.
Westside Gunn a un amour fou pour le Canada et il n’hésite pas à s’y rendre quand il en a la possibilité. Cependant, l’artiste a eu un mauvais souvenir à la frontière. Les officiers à la frontière ont visiblement fait vivre un sale temps à Gunn. Cela a poussé la star à jurer ne plus jamais se rendre dans le pays de la feuille d’érable.
Un traitement raciste
Le samedi 17 février 2024, Westside Gunn s’est rendu sur X pour partager avec les internautes sa mésaventure à la frontière du Canada. Il a visiblement subi un mauvais traitement en tentant de traverser la frontière. « À moins que je ne reçoive un gros sac pour la façon dont j’ai été traité devant mes enfants, je ne retournerai jamais au Canada », a-t-il écrit.
Il a poursuivi en déclarant cependant pour le pays. « C’est triste parce que j’aime le Canada, l’amour que j’y reçois est magnifique et j’y ai des amis personnels, mais les racistes de la frontière, BIG PUSSY et POOTIE, les ont traités de fauchés ».
Pour mieux partager son ressenti avec ses fans, il a également posté une vidéo sur la toile. Dans le visuel, le rappeur est en train de rentrer à bord d’une voiture en traversant le Rainbow Bridge avec la ligne d’horizon de Toronto bien visible derrière lui.
Westside Gunn a également montré à la caméra un papier officiel sur lequel figurent son nom de naissance, Alvin Lamar Worthy, sa date de naissance et son pays de citoyenneté.
Il est également possible de lire sur le document : « ALLOWED TO LEAVE CANADA » (autorisé à quitter le Canada) ».
Il a continué à s’exprimer en se moquant du service à la frontière. « Les muthafuckas irrespectueux ne me laissent pas entrer au Canada, mec. Pour de vrai. Irrespectueux, putain, mec », s’est-il défoulé. « J’ai le droit de quitter le Canada. Ces enfoirés sont fous, mec. »
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Pour ce refus, le rappeur a une idée de ce qui s’est passé. « J’ai découvert que quelqu’un avait lancé un appel pour que je ne puisse plus entrer dans le pays. Qu’est-ce qu’il y a de bien ? C’est comme ça qu’on me fait ? C’est comme ça que tu me fais, au Canada ? »
