Beyoncé s’oppose à sa facture fiscale que l’IRS a estimée à 2,7 millions de dollars

L’évaluation fiscale concerne les années 2018 et 2019.

Beyoncé n’est pas d’accord avec ce que l’IRS dit qu’elle doit payer. L’ardoise fiscale présentée à la chanteuse est estimée à 2,7 millions de dollars de 2018 à 2019. Cependant, la chanteuse ne compte pas se laisser faire et a déposé une requête auprès de la cour fiscale américaine. Sa demande vise à demander une réévaluation de sa dette fiscale.

Selon Forbes, c’est dans un avis d’insuffisance que l’IRS a notifié la dette fiscale à Beyoncé. Pour 2018, elle a eu 805 850 dollars comme impôt supplémentaire et 161 170 dollars en guise de pénalité. En ce qui concerne 2019, le bureau de l’IRS a déterminé que la chanteuse avait une dette plus colossale vis-à-vis de l’autorité fiscale. Il y a 1 442 747 dollars d’impôts supplémentaires et 288 549,40 dollars de pénalités.

Beyoncé se défend

Pour Beyoncé, l’IRS s’est trompé dans ses calculs. La chanteuse a également avancé des chiffres. « 868 766 dollars attribuables à un report de contribution caritative déclaré en 2018 devraient être refusés. »

La femme de Jay-z a poursuivi sa défense dans sa lettre. « Pour information, le défendeur a commis une erreur en déterminant que les déductions de revenu d’entreprise qualifiées de 3 581 dollars déclarées en 2018 et de 14 dollars déclarés en 2019 devraient être refusées. »

Dans la suite de la lettre, Beyoncé a fait comprendre que l’IRS avait également fait une erreur en constatant qu’elle n’avait pas déclaré 1 449 dollars de revenus de redevances pour 2018.

Après les explications, Beyoncé a aussi contesté les pénalités que l’IRS lui a appliquées. En effet, elle estime avoir correctement déclaré ses revenus de royalties. Elle en déduit donc qu’elle ne devrait pas payer de pénalités même s’il y avait des impôts supplémentaires à payer. Elle se conforte dans sa position en brandissant le fait d’avoir été honnête dans ses déclarations de revenus.

Sidoine
Sidoine
Journaliste et traducteur EN-FR, je suis passionné d'Internet, de technologies, de crypto-monnaies et de musique, le Rap tout particulièrement. Je suis tombé dans le chaudron de MC Solaar lorsqu'avec l'aide du druide Jimmy Jay, il préparait l'album Qui sème le vent récolte le tempo.

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